Mésothéliome (cancer amiante) : faible taux de survie confirmé
Le Royaume-Uni vient de publier une enquête confirmant le faible taux de survie des personnes atteintes d'un mésothéliome un an après avoir été diagnostiqués. En savoir plus...
Le 8 décembre 2016
Mésotheliome : la survie après un an de diagnostic toujours très faible
Le Royaume-Uni vient de publier une enquête confirmant le faible taux de survie des personnes atteintes d'un mésothéliome un an après avoir été diagnostiqués. Le mésothéliome pleural malin est un cancer qui se développe dans la fine membrane qui entoure les poumons et à l'intérieur de la cage thoracique. Il survient principalement après des expositions à l'amiante.
Le Royal College of Physicians (RCP) de Londres, plus ancienne école de médecine anglaise (fondée en 1518), vient de publier un rapport sur la prise en charge du mésothéliome chez les patients. Cette étude s'est basée sur plus de 2000 personnes atteintes de cette maladie.
Malheureusement, malgré une légère amélioration par rapport à la dernière étude (2014), le taux de survie des patients à un an reste toujours très faible. En effet, seuls 43 % des malades sont encore envie un an après le diagnostic initial. Cette faible durée ne permet pas de mettre en place des traitements de fond. La recherche médicale néanmoins continue avec un espoir à terme de faire progresser ce taux de survie.
A noter que le rapport met en évidence une inégalité de traitement suivant la région (et donc l'hôpital) où sont soignés les malades.
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